Bonjour à tous et à toutes.
Eh oui, me revoilà. C’est un peu tôt pour parler d’hirondelle qui annonce le printemps, mais je suis quand même de retour. Parce que j’ai quelques choses à vous montrer, et pour tout dire que je considère comme des pépites…

Pourquoi avoir disparu si longtemps ? Très simple : peu de visites, peu de commentaires, l’impression de parler dans le vide et rien n’est plus frustrant pour un bavard que de n’être pas écouté !

Et puis il y a la vie avec ses mauvais côtés : la disparition en moins de 24 heures d’un oncle, et surtout d’une sœur. Epreuve difficile s’il en est. Rosine, ma nièce, vous a déjà parlé de temps en temps de sa maladie dite « orpheline », simplement parce qu’elle ne rapporte pas et jamais suffisamment d’argent aux laboratoires, S.L.A. qui a fini par l’emporter fin aout. Pas facile de continuer à faire le mariole après…

Mais voilà, je suis encore debout sur mes deux jambes, alors je marche, un peu en crabe par moment, mais cela donne un petit coté étrange à mon personnage, ce qui n’est pas pour me déplaire…

Vous voulez voyager, comme je vous ai déjà souvent entrainé avec moi ? Rien de plus simple, voici quatre albums de photos du Vietnam que j’ai rapporté et mis en forme pour vous. C’et l’occasion pour moi de voir si vous existez toujours, si vous lisez vos mails et si mes petites images vous intéressent toujours…

Voici quatre photos en guise de « teasing » (Comme on dit maintenant dans les milieux parisiens chicouzes)

Mdr

Et peut être a une autre fois… bisoux à tous et toutes

Eric

A Londres, j'ai trouvé aussi, par hasard, un coin insolite :

La petite Venise...
C'est pas énorme, voyez plutôt

un endroit calme

un oasis

plein de charme

à l'anglaise...
convivial

où l'on vit le jour

et la nuit...

J'ai bien aimé ma petite escapade à Venise...

Mais tout le monde n'est pas assis dans les parcs...

Que nenni !

Ils marchent aussi...
(enfin,... déambulent)

ou patinent

ou rament

cavalent

(pardon pour les visages floutés...)

brefs, les english, dans leurs parcs
comme disait Brassens :

"ont des p'tites gueules
bien sympathiques..."

et une décontraction en public...

qu'on devrait tous prendre sur modèle...

et c'est un anglo-quasi-phobe
qui vous le dit !

Bon. Eh bien voilà une bonne chose de faite, non ?

Tiens, dans la prochaine publication je vous emmène à Venise. D'accord ?
Répondez pas tou(te)s en même temps !

J'ai déjà parlé et évoqué la décontraction anglaise, ce flegme si very british...

On le constate aussi dans les parcs. Là aussi, la position assise est reine (tiens donc!)

qu'on lise
(fable du lecteur, de la corneille et de l'écureuil
en plein centre de Londres... quel tableau)

pour la lisibilité de l'image, j'ai un peu trafiquouillé...

qu'on machouille d'une dent distraite

ou concentrée

(me méfiant des avocats anglo-saxons,
j'ai flouté les visages,
contrairement à mes principes)

Mais de façon globale, on fait rien (far niente)

enfin... pas grand chose...

next page following soon...

à Rosine-qui-est-vraiment-la-nièce-de-son-oncle...

Pour toi, puisque tu l'aimes tant, j'en ai trouvé une copie conservée dans mes archives... elle date du début du siècle (dernier). Après j'ai rajouté la couleur et enlevé le grain, et tout ça.

C'est beau la technique hein ?

Mais au départ c'était ça !

Once upon a time...

Non ! One more time !

Pour le fun (tout est en français...) !

Je sais pas comment je vais pouvoir continuer mes jeux de mots ... là, vous avez bien deviné part three, bien sûr. Mais après... encore me creuser la tête pour vous, je sais pas si je dois, si je vais ? appréciez-vous au moins ?

Enfin on verra...

Comme mon public est essentiellement féminin - ce qui n'est pas pour me déplaire - ma troisième publication c'est pour elles...

Je la leur dédicace.
Je vous la dédicace.

Je te la dédicace !

A Londres j'ai trouvé une vision de la femme assez étrange, voyez plutôt :

j'ai trouvé ça d'un goût...?
la suivante aussi, d'ailleurs

d'accord avec moi ?
heureusement il y a plus classique
(je vais me faire incendier...)

Mdr !

puisqu'on est dans le rose...
butinons !

non,non, la femme anglaise
typique anglaise
ça existe encore
la preuve ...

un vague parfum à la William Somerset Maugham
ou à la Agatha Christie comme ci-dessous

Qui a dit : "L'enfer, c'est les autres ?"

lui, bien sûr !

on voit (on devine) bien que c'est un
digne (indigne) représentant de la
gent masculine !

Heureusement, là non plus, ils ne sont pas tous comme ça !

Ptdr !

La décontraction à deux...

ou à plusieurs

beaucoup plusieurs...

et pas seulement les jeunes...

et, comme en France, ça finit
par des chansons... (euh... very british, yep !)

Si on va à Londres avec du soleil
et cet état d'esprit
je vous promets un séjour very sweet...

La deuxième chose qui m'a touché à Londres c'est leur penchant prononcé pour la décontraction...

une forme très actuelle du flegme britanique...

vision solitaire

ou en duo touristique

(à suivre)

Voilà, voilà, voilà...

Fiston vivant à Londres depuis peu, et habitant de temps à autre à Paris, un saut dans l'Eurostar et toc, toc ! C'est nous !

Dans la dernière édition sur les simples, j'ai laissé entendre que le premier contact avec Londres m'avait paru... un peu surabondant...

Mentais-je ?
Jugez par vous même...
Résumé d'un petit tour dans Notting Hill,
in The Royal Borough Of Kensington and Chelsea

et plus précisement,
pour les amateurs,
in Portobello Road...

Ca commence par quelques bijoux épars (vous avez dit hépar?)

quelques bouboules récupérées au Club

quelques avis bien sonnés !
(je signale à votre impertubabilité quelques uns :
"Attention aux joueurs de Poker et aux femmes perdues"
et le very british :
"Interdiction de passer, les contrevenants seront abattus,
les survivants on leur tirera dessus à nouveau"...)

et, dans la même veine
("la bière changera le monde, je sais pas comment,
mais il le changera" no comment cmme ils disent...)

un embouteillage fortuit

des paparazzi mis à la retraite
par la mort de Lady Di ?

(non, mais c'est d'un goût cette légende !)

j'étais pas obnubilé par l'heure bien qu'ayant laissé ma montre
à la maison, las de n'avoir pas réussi à la mettre à
l'heure londonnienne - faut toujours
qu'ils se distinguent...

car des montres

il y en avait....

des tas...

tant est si bien que j'en ai acheté une
made in Chinwan...
une comme ça

alors
contents?

je suis un peu gueudé de tout ça !

rideau !

la suite au prochain numéro.

Ah ! Pendant que j'y pense. Contre une honnête rémunération, je vends ces photos comme méthode d'entrainement contre les pertes de mémoire (vous zieutez dix secondes puis vous cherchez à énumérer le plus possible d'objets contenus dans la photo...). Honnête rémunération, c'est à dire moins cher que la Nitendo, voyez ? Pas beaucoup non plus, faut pas exagérer et j'ai un billet de train à étaler moi...

Bisoux

1er mai; fête du travail et... jour férié.
Fête du muguet.

Très bien.

Je marchais ce jour-là dans un chemin de campagne. Par terre, plein de petites fleurs, de celles qu'on écrase sans regarder, qui font partie du paysage comme les pierres ou la terre, les herbes ou les flaques d'eau, de celles qu'on ne regarde plus, attardés que nous sommes à payer pour de la fleur élevée en serre, au mépris des saisons, des intempéries.

Celles qu'on appelle "les simples".

Si on s'y arrête un peu, quelle jolie dénomination, les simples...

Alors, foin du brin de muguet à 7,50 euros les trois brins (!!!), moi, avec deux jours de retard, je vous offre ces merveilleuses fleurs que la nature offre généreusement à nos semelles, pour une fois mettons-les à l'honneur.

J'ai essayé de rester aussi sobre qu'elles...

Ce sont les fleurs de chez moi, du pays de Caux en Haute Normandie, mais, regardez bien sous vos pieds, vous avez les mêmes...

Celles qu'on machouillait sans y penser. Aujourd'hui avec les pesticides, les herbicides, et toutes ces sortes de choses, on ose presque plus les porter à sa bouche...

J'y reviendrai. Plus tard.

La série qui va suivre sur Londres, le moins que l'on puisse dire, c'est que ça commencera pas dans la sobriété... Mais c'est une autre histoire, comme disait Titus.

Sans ses cheveux qui volent
j'aurai, dorénavant,
des difficultés folles
à voir d'où vient le vent

tout est bon chez elle
il n'y a rien a jeter
sur l'île déserte
il faut tout emporter...

Merci a tous mes fidèles ami(e)s qui passent et me font un petit coucou...
C'est vrai que j'ai en ce moment un petit coup de blues passager, vous en avez déjà connu quelques uns; celui-ci comme les autres ne durera pas, je vous le promets, pour la bonne et simple raison qu'à chaque fois que je vais pour effacer tout mon blog, je tombe sur des commentaires qui stoppent mon geste dans son (manque d') élan...

C'est donc vous qui, sans le vouloir, me remettez sur l'établi par vos commentaires bienveillants.

Alors, je vais profiter de l'occasion pour vous dire quelques bricoles.

D'abord, j'aime autant les galets que le sable et les rochers car c'est la plage et la mer, et que préférer l'un aux autres c'est un peu facile, non ? et j'aime la Bretagne, la Normandie, les Sables de l'atlantique, la paresseuse côte azuréenne; pour moi pas de premier ni de dernier; sable, galets, rochers tous ont leur place dans mon univers et sous mes pieds.... et les odeurs aussi... d'accord pour les algues bretonnes (je vous recommande tout particulièrement celles de Saint-Michel en Grève...), mais je vous assure que je regrette les odeurs d'autrefois sur le port du Havre, avec le quai des agrumes, plus loin celui des grumes, plus loin les odeurs de fumée de chaudières de navire, d'huile, la vie quoi ! pareil, pour moi toutes les odeurs des ports font partie de mon univers olfactif, même celle des poissons en décomposition derrière les criées, poissons que se disputent les cormorans... Il m'"arrive de partir dans des pensées madeleinesques à sentir la fumée d'un gros moteur diesel... c'est dire !

Alors, c'est vrai qu'instinctivement, sans aucune vraie réflexion approfondie préalable, j'ai voulu vous montrer, ou essayé de vous montrer, toutes les diversités et nuances des sentiments que remuaient en moi tous les aspects de la mer, qui me touchent, du crachin breton au soleil antillais, de la tempête havraise aux couchers de soleil mauritiens...

Cela vous parait un inventaire ? C'en est un. A ma manière, plus homogène que celui de mon cher Prévert, mais que je vis de façon aussi poétique, "le bon maître me le pardonne" !

Cela m'est d'ailleurs extraordinairement difficile de mettre un point final à cette série... Dans ma tête il n'y en a pas.
Je crois que je n'en mettrai pas.

Pour ce qui est des textes, je vous assure qu'ils coulent de source. Je sélectionne mes photos, les préparent en les mettant "instinctivement" dans un ordre qui m'apparaît, tout à coup, évident. Et les premiers mots du texte viennent tout seuls. S'ils ne venaient pas, il n'y aurait pas de publication... Et la suite vient naturellement, au fur et à mesure que je charge les photos... Si le choix et le tri sont évidents, le texte le devient aussi. Je pense qu'un auteur compositeur "pense" un peu comme ça, incapable de distinguer le premier élément, l'oeuf ou la poule ?

Et puis je suis allé passer une bonne semaine à Londres, semaine bénie des Dieux puisque, arrivé sous une pluie battante le vendredi soir, je n'ai plus eu que du soleil jusqu'à mon départ du jeudi soir suivant !
Bonheur du photographe. Bonheur du touriste; c'était la première fois que je découvrais Londres sous le soleil pendant 6 jours complets.
Alors, sur les plus de 500 photos prises, vous allez forcement en déguster quelques unes...
Tiens, en guise de cadeau en voici quatre choisies au hasard :

(Saint James Park)

(Portobello Road - Chelsea/Notting Hill)

idem

Hyde Park

Voilà...

Si vous trouvez que je suis un peu longuet à vous revenir, à un commentaire sympatique ajoutez ou, pour les plus paresseux substituez-lui un message direct en contactant l'auteur... ceux-là je les vois plusieurs fois par jour...

Bisoux à tous et surtout à toutes...

là aussi, il y a...

Galets

(bretons)

et galets…

(espagnols, côte du levant)

de même, il y a

Rochers

(bretons jusqu'au bout....)

et rochers…

rochers...

rocher déjà vu
mais quand on aime...

rocher vert

et crabe rouge...

qui n'a rien a faire ici,
sauf
que je voulais terminer
par une petite
tache de couleur...

euh...

il y en a encore qui pensent
que la mer c'est rien pour

moi ?

allez, plus qu'une publication
et je fermerai mon livre d'image sur la mer...

enfin temporairement.

La fois précédente vous avez adoré
et vu le sable haut normand
havrais...

Et cependant il y a sable

(Gadeloupe)

et sable…

(Dunes près d'Arcachon)

(Galice, Espagne)

(Bretagne...)

(Bretagne...)

(et encore Bretagne, mon autre pays d'amour)

et on retourne voir d'autres galets et rochers...

(à suivre...)

Quelqu'un peut-il m'aider à identifier ce petit voisin

qui passe
(un passereau ? hi hi)
quotidiennement
me rendre visite...

Pour moi, que représente la mer ?

Envoi 13.

et aussi :

Sable et galets

Bon, j’avoue que là c’est vraiment pour dire que je suis exhaustif…
car sable et galets se ressemblent à peu près tous,
pas forcement à l’œil, mais sous les pieds…

j'ai bien pensé  (sic) aussi m'éviter du boulot
tout en vous montrant comment c'est chez nous...
Tout le monde dit : ouai, chez vous c'est des galets ! des galets !
la galère quoi !
faut dire, que des galets... on en a !
je mens pas, des galets on en a

un peu

oui, un peu...

un peu... beaucoup !

oui, vraiment beaucoup !

et pourtant, c'est beau non?

alors vous dites : au Havre il n'y a que des galets !
(comme à Etretat...)

FAUX

du sable il y en a
un peu ?

un peu beaucoup ?...

non ! vraiment beaucoup !

mais je vous sens l'âme
bien chipoteuse
aujourd'hui

vous trouvez que j'exagère
de me cantonner
comme ça
à mes rivages
moi qui vous ai (mal) habitués
à plus d'exotisme ou de soleil

alors, je joue les prolongations...

(à suivre...)

Une fois n'est pas coutume, dit-on.

Comme ça, pour le plaisir et faire diversion, je vous livre un petit extrait d'un poème un peu cucul mais qui me ravit toujours, d'autant que je commence à entrer dans la catégorie concernée...

à Monique.

... Et comme chaque jour je t'aime davantage,
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain,
Qu'importeront alors les rides du visage?
Mon amour se fera plus grave et plus serein.

Songe que tous les jours des souvenirs s'entassent;
Mes souvenirs à moi seront aussi les tiens:
Ces communs souvenirs toujours plus nous enlacent
Et sans cesse entre nous tissent d'autres liens.

C'est vrai, nous serons vieux, très vieux, faiblis par l'âge,
Mais plus fort chaque jour je serrerai ta main,
Car vois-tu, chaque jour je t'aime davantage,
Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain.

Et de ce cher amour qui passe comme un rêve
Je veux tout conserver dans le fond de mon coeur:
Retenir, s'il se peut, l'impression trop brève
Pour la ressavourer plus tard avec lenteur...

Louise-Rose-Etiennette Gérard,
dite Rosemonde Gérard,
épouse d'Edmond Rostand,
mère de Jean.

Surnommée Dodette...

Si vous aimez, peut-être remettrai-je le couvert une autre fois...

Aujourd'hui, après une assez longue absence, ou plutôt une évasion, une belle belle,  je reprends ma série sur la mer, le centre de ma vie. Je ne suis pas marin, ni pêcheur, ni baigneur... mais… est-il besoin d’être paysan pour s’identifier à la terre ? Pyromane pour adorer le feu ? Kersauson pour rêver la mer ? Aviateur pour aimer l'air et le vent ?

Elle est là, toute proche, à côté.
Je la sens, même si je ne la vois pas.
Je l’entends même sans corne de brume.

Alors je termine ce que j’ai commencé !

Pour moi, que représente la mer ?

Envoi 12.

des coquillages

oh ! je vais quand même éviter
la photo du plateau de fruits de mer
Pour une reprise légère, je vais donner dans le classique
écologique.

1.- l'habitat, parfois partagé avec des non-coquillages...

parfois du bon granite breton bien concassé

les prédateurs...

et prédateuses...
(cherchez pas, c'est un mot à moi...)

quelques fois "muchés" entre les pierres
(c'est du normand)

d'autres fois dans un pastiche de la marche de l'empereur

dans une marche figée vers le large

parfois avec une fin tragique au hasard
d'une rencontre avec une étoile de mer
ou un promeneur affamé

ou au contraire promis au paradis
éternel des élus bienheureux

propres, nets, dans leur écrin

dans une maison, au bord de la mer,
attendant calmement
la remontée des eaux
pour repartir au large...

Petite piqûre de rappel; ce sera la seule, promis ! (et tant pis?)

Finalement, et en résumé, l'Île Maurice c'est :

du temps passé sur l'eau du lagon

la barre du lagon

l'eau du lagon sous les coques

c'est aussi du soleil,
soleil que l'on "respire" surtout à l'ombre

qui joue avec les yeux

et pourtant rien ne peut faire oublier
l'existence de la mer

et la sérénité de ses habitants

un joli mélange parfaitement réussi
d'eau, de soleil
et de mauriciens.

L'Île Maurice
c'est ça :

Ais-je été assez clair ?

Mais je peux vous avouer que ça me manque déjà...

Alors, un brin mélancolique, je reviens au pays...

Voilà
Promis
c'est fini.

On en parlera plus.
Retournons danser sous la pluie
des giboulées marsiennes.
Heureusement
les jours allongent.

C'est le printemps.

Rappel sur l'Île Maurice
suite et fin.

l'île Maurice c'est

des moments de bonheur

de la plongée (maispas la peine emporter APN ou harpon)

des plantes, des fleurs
(vous savez ma passion pour les fleurs..)

des choses un peu ... étranges

un arbre qui saigne

et la fine plaisanterie du guide du
jardin pamplemousse :

le palmier à citrons (sic)

vous avez trouvé ?
tel que c'est présenté je suppose que oui...

des lendemains qui chantent

(des futures dattes...)

et pour finir une splendeur florale

Eh bien voilà, c'est fini.

Retour à la case départ.
Metro, boulot, dodo pour les uns, marmots, gastro, impôts pout les autres.
Je vais donc reprendre la suite et fin de la série sur la mer... enfin, en principe.

Mais de toutes façons, maintenant c'est le printemps ; comme on dit, les beaux jours arrivent et vont (heureusement !) lutter contre mes belles images ensoleillées. J'espère vous avoir fait un tout petit petit peu oublier cet hiver longuet.

Je vais changer ma formule, légèrement.
Je vais passer de une petite dizaine de photos tous les deux jours, ce qui peut gaver certains, à une, deux ou trois par jour, ou environ... parce que le rythme de huit à dix tous les deux jours, c'est un boulot d'enfer !

J'espère que cette série vous a plu...

(j'ai hésité avant de mettre le 'e'... et, encore maintenant, je me récite la règle à chaque fois... apprendre par coeur cette règle-là m'a vraiment été utile ! c'est curieux qu'elle soit si difficile à observer "instinctiement".)

La preuve, j'avais encore mis un noeud au bout ! Heureusement Cedemel veillait... Merci à toi !

Continuez a venir nombreuses et nombreux, et "abonnez-vous qu'y disaient..." .